L’état du marché
Les hauts et les bas de l’immobilier au Québec
La Presse
MAISONS UNIFAMILIALES
1300 (+ 14 %)
Nombre de transactions
280 000 $ (+ 1 %)
Prix médian
101 jours (- 2 jours)
Délai de vente moyen
COPROPRIÉTÉS
637 (+ 10 %)
Nombre de transactions
238 000 $ (+ 3 %)
Prix médian
136 jours (+ 7 jours)
Délai de vente moyen
MAISONS UNIFAMILIALES
315 (+ 24 %)
Nombre de transactions
239 500 $ (- 1 %)
Prix médian
142 jours (+ 16 jours)
Délai de vente moyen
COPROPRIÉTÉS
107 (+ 8 %)
Nombre de transactions
187 000 $ (- 13 %)
Prix médian
200 jours (+ 45 jours)
Délai de vente moyen
MAISONS UNIFAMILIALES
143 (+ 11 %)
Nombre de transactions
230 000 $ (+ 7 %)
Prix médian
95 jours (- 12 jours)
Délai de vente moyen
COPROPRIÉTÉS
28 transactions
(Nombre de transactions insuffisant pour produire une statistique fiable)
MAISONS UNIFAMILIALES
83 (+ 11 %)
Nombre de transactions
184 500 $ (- 14 %)
Prix médian
121 jours (- 10 jours)
Délai de vente moyen
COPROPRIÉTÉS
11 transactions
(Nombre de transactions insuffisant pour produire une statistique fiable)
MAISONS UNIFAMILIALES
57 (+ 10 %)
Nombre de transactions
144 000 $ (+ 2 %)
Prix médian
115 jours (+ 6 jours)
Délai de vente moyen
COPROPRIÉTÉS
6 transactions
(Nombre de transactions insuffisant pour produire une statistique fiable)
MAISONS UNIFAMILIALES
42 (+ 2 %)
Nombre de transactions
153 500 $ (- 2 %)
Prix médian
154 jours (+ 43 jours)
Délai de vente moyen
COPROPRIÉTÉS
1 transaction
(Nombre de transactions insuffisant pour produire une statistique fiable)
NOTES : Ces données de la Fédération des chambres immobilières du Québec portent sur le mois de janvier 2016 et englobent la région métropolitaine (les banlieues) pour chaque ville. Les variations en pourcentage sont par rapport à janvier 2015.
Signe additionnel que le marché immobilier québécois poursuit son « atterrissage », le nombre de propriétés à vendre a cessé de gonfler au Québec. On retrouvait le mois dernier 79 094 résidences à vendre par l’entremise des courtiers, un nombre stable par rapport à janvier 2015, qui demeure toutefois élevé selon les standards historiques. Le nombre de nouvelles inscriptions a par ailleurs reculé de 4 % en janvier, ce qui laisse poindre un lent rééquilibrage entre l’offre et la demande. Le marché reste pour l’instant largement à l’avantage des acheteurs, qui bénéficient d’un pouvoir de négociation des prix élevé.