CONGESTION ROUTIÈRE

PRÊTS À GAGNER MOINS POUR ROULER MIEUX

À la rentrée de 2014, un sondage révélait l’ampleur des impacts psychologiques chez les travailleurs de la région de Montréal des conditions de circulation exécrables auxquelles ils devaient faire face. Deux ans plus tard, la situation a empiré. Au point qu’un nombre étonnant de travailleurs accepteraient aujourd’hui de réduire leur salaire en échange d’une diminution significative de leur temps de transport quotidien. La congestion routière a-t-elle atteint une limite ? UN DOSSIER DE BRUNO BISSON

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