AUTOS VEDETTES PATRICE BERNIER

Le plein de découvertes pour Patrice Bernier

Au gré de ses multiples expériences en Europe, Patrice Bernier a tout connu au chapitre de l’automobile : le luxe en Allemagne, les pannes au Danemark et un bête accident en Norvège. Au crépuscule de sa carrière, le capitaine de l’Impact n’abandonne pas l’idée de conduire, un jour, la Lamborghini de ses rêves.

LA VOITURE QUI A MARQUÉ MON ENFANCE

Mon père avait une Toyota Celica sport avec l’arrière arrondi et l’avant qui pointe. Si je me rappelle bien, il y avait une sorte de cuir bleu à l’intérieur. Quand j’avais 6 ou 7 ans, mon père m’amenait dans les petits matchs récréatifs de soccer avec cette auto-là. Après, on est devenu une plus grande famille, donc, on a dû changer.

MA PREMIÈRE VOITURE

La première voiture que j’ai conduite était une Toyota Camry brune que mon père avait depuis longtemps. Mais c’est en arrivant en Norvège que j’ai eu ma première voiture : une toute petite Renault Clio bleue, prêtée par le club. C’était la première fois que je conduisais avec une boîte manuelle. Si le gars a ensuite vendu la voiture, il a certainement dû changer la transmission ! C’était très bien pour une première auto, surtout pour stationner dans une petite ville.

MA PIRE VOITURE

Au Danemark, j’avais une Mazda 323, prêtée par le club. Elle avait déjà du millage et était dans un mauvais état. Quelques fois, j’ai même dû m’arrêter au milieu de la route, à Copenhague. C’est le genre de modèle que tu donnes à ton enfant pour qu’il apprenne à conduire, pas à un nouveau joueur qui arrive dans ton club. Je me rappelle aussi la Toyota Corolla que je possédais en Norvège. Le stationnement de l’un de mes amis était en pente. J’ai laissé la voiture et, en revenant trois heures plus tard, elle n’était plus là. Avec la glace, elle n’a pas tenu malgré le frein à main. On l’a retrouvée, en bas, au deuxième niveau. Je n’ai plus jamais reconduit ce modèle après ça.

LA VOITURE DE MES RÊVES

Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours voulu avoir une Lamborghini Gallardo. Il y a quelque chose qui m’attire : c’est sport, c’est compact. J’ai toujours rêvé de l’avoir ou de la conduire au moins une fois. Avec trois enfants, il n’y a pas de place pour la famille. Peut-être quand ma fille sera plus vieille, elle pourrait aller en avant [rires]. Je me rappelle que mon ancien coéquipier en sélection, Julian de Guzman, avait une Lamborghini orange.

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