Grand Défi Pierre Lavoie

17 743 $ pour l’école Victor-Rousselot

La Presse a reçu la visite d’élèves et d’accompagnateurs de l’école primaire Victor-Rousselot. Cette école a été parrainée par La Presse dans le cadre de l’événement du 1000 km du Grand Défi Pierre Lavoie 2017. À cette occasion, nous leur avons remis un chèque de 17 743 $. Lors de cette édition du Grand Défi Pierre Lavoie, l’équipe de La Presse était formée de Patrick Jutras (La Presse), Fabrice Fourteau (L’Oréal), Dominique Verdon (Taxi), Jean-Pierre Giroux (Pub Point Com) et Sébastien Houle (Initiative).

opposition à un centre brian mulroney

L’Université Laval s’excuse et promet un « projet d’envergure »

L’Université Laval a présenté ses excuses à l’ancien premier ministre du Canada Brian Mulroney. La rectrice de l’établissement, Sophie D’Amours, a assuré hier dans un communiqué que l’établissement honorerait la carrière de l’ancien premier ministre du Canada malgré l’opposition de professeurs de la faculté de droit à la création d’un centre de recherche portant son nom. Jeudi, La Presse révélait que l’Université Laval tournait le dos à la création d’un centre de recherche en droit international et transnational nommé en l’honneur de Brian Mulroney après avoir constaté l’opposition de plusieurs enseignants lors d’un vote consultatif sur le projet. Or, hier, dans un communiqué, l’établissement d’enseignement a bel et bien assuré vouloir souligner la carrière de l’homme politique par « un projet d’envergure » qui « a reçu l’appui sans équivoque des directions de l’Université Laval et de sa Faculté de droit » et qui « témoignera du caractère exceptionnel de l’illustre carrière de monsieur Mulroney ». La rectrice Sophie D’Amours explique que le corps professoral a été consulté alors que le projet était au « stade embryonnaire » et que la direction de l’université « trouve inacceptable que des membres de sa communauté aient rendu publiques ces discussions ». — Audrey Ruel-Manseau, La Presse

sommet annuel

La relève en santé veut freiner la surmédicalisation

Sédatifs superflus. Antidouleurs à profusion. La prochaine cohorte de professionnels de la santé veut mettre la hache dans la surmédicalisation monopolisant des ressources qui se font rares dans le réseau public. Le Forum de la relève étudiante pour la santé au Québec (FRESQue) en a fait le thème de son sommet annuel, auquel ont pris part hier le ministre québécois de la Santé, Gaétan Barrette, et les députés Diane Lamarre, du Parti québécois, et Amir Khadir, de Québec solidaire, à Montréal. Selon l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), plus d’un million d’examens et de traitements potentiellement non nécessaires sont effectués chaque année au pays et pèsent lourd sur un système de la santé déjà surchargé. M. Khadir a jeté une partie du blâme sur la rémunération à l’acte des médecins, qui les pousse selon lui à augmenter la cadence. En conséquence, ils se tournent vers les médicaments pour dissiper les symptômes de leurs patients plutôt que de prendre le temps de les soigner, a-t-il expliqué. Québec solidaire propose une refonte globale du mode de rémunération des médecins pour contrer la « logique marchande » qui accable le réseau de la santé. Le ministre Barrette voit là une forme de « pensée magique ». Gaétan Barrette reproche aux divers « commentateurs » des dossiers en santé de ne livrer que des « messages ponctuels » qui analysent le système en vase clos, sans égard aux contraintes budgétaires. — La Presse canadienne

Nicolet

Un incendie ravage un bâtiment d’une usine de matelas

Un bâtiment de l’usine de fabrication de matelas et sommiers Matelas René, dans le parc industriel de Nicolet, dans le Centre-du-Québec, a été la proie des flammes, hier. Une trentaine de pompiers de l’endroit, aidés d’une dizaine de collègues des environs, ont combattu l’élément destructeur. Personne n’a été blessé dans l’incendie qui a été très violent. Selon le directeur du service de sécurité incendie de la municipalité, Michel Legault, le brasier pourrait être attribuable à un problème électrique, ce qui reste toutefois à confirmer. Une poignée d’employés travaillaient dans le bâtiment qui a été la proie des flammes, selon la mairesse, Geneviève Dubois. Ce bâtiment approvisionnait l’usine principale où se fait une grande partie de la production. Il s’agit d’un dur coup pour la municipalité, a indiqué Mme Dubois. Jusqu’à une cinquantaine de personnes travaillent pour l’entreprise Matelas René. — La Presse canadienne

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