Le chorégraphe québécois Eric Gauthier, qui présente ses spectacles partout dans le monde, est à Montréal pour la première fois. Parmi les pièces présentées, il y a un hommage à Louise Lecavalier. De la grande visite qui vaut le déplacement !

— Véronique Lauzon, La Presse

Les chemins sinueux de la chose amoureuse émaillent les œuvres de ce programme présenté par Arion Orchestre Baroque, sous la direction du claveciniste Alexander Weimann, et dont la soliste invitée sera la soprano Nathalie Paulin. Les compositeurs baroques mis en relief seront Johann Adolph Hasse (1699-1783), George Frideric Handel (1685-1759) et Nicola Antonio Porpora (1686-1768). Nathalie Paulin en interprétera des extraits d’opéras et d’oratorios.

— Alain Brunet, La Presse

Dans le cadre du 120e anniversaire de Gaumont, Cinemania et la Cinémathèque québécoise rendent hommage à la plus ancienne société cinématographique du monde. On peut visiter, jusqu’au 27 novembre, l’exposition Gaumont : depuis que le cinéma existe. S’y greffent plusieurs films d’exception, dont Le silence de la mer de Jean-Pierre Melville. Campé dans un village français sous l’occupation allemande, ce film de 1948 raconte l’histoire d’un homme âgé et de sa nièce qui évitent toutes les tentatives de rapprochement d’un officier allemand.

— André Duchesne, La Presse

Il ne reste que trois soirs pour voir la magnifique pièce de Michel Ouellette Le dire de Di, mise en scène par Joël Beddows, à propos d’une jeune fille qui habite un territoire isolé avec sa famille. Un one-woman-show porté avec brio par Marie-Ève Fontaine. Reconnu comme l’un des dramaturges les plus importants de l’Ontario français et du Canada, Michel Ouellette est lauréat de multiples prix littéraires, dont le prix du Gouverneur général et le prix Michel-Tremblay.

— Luc Boulanger, La Presse

C’est la rentrée montréalaise du spectacle solo de Virginie Fortin Du bruit dans le cosmos. Notre collègue du Soleil Normand Provencher a vu le solo au Théâtre Petit Champlain, à Québec. Il a qualifié la comédienne et humoriste de « naturelle et en parfait contrôle sur scène ». « Un spectacle tricoté serré, mené sur un bon rythme, sans moments creux », résume-t-il.

— Luc Boulanger, La Presse

Parallèlement à sa première rétrospective muséale signée Ève-Lyne Beaudry, au Musée national des beaux-arts du Québec, dans la Vieille-Capitale, Marcel Barbeau fait l’objet d’une exposition à la galerie d’Este, à Montréal. Ayant pour commissaire Ninon Gauthier, Jours d’envol est présentée jusqu’au 25 novembre. Le vernissage a lieu ce soir, de 17 h à 20 h.

— Éric Clément, La Presse