La tendance est bien établie : les Québécois sont massivement branchés sur l’internet et utilisent un appareil mobile pour y naviguer. Toutefois, la dernière étude du CEFRIO, un centre de recherche qui vise à faire du Québec une société numérique, indique que plus du quart des foyers d’ici choisissent la tablette numérique, comme celle que vous tenez actuellement entre vos mains.

Un foyer sur quatre a une tablette

Naviguer sur l’internet et vivre à l’ère numérique se fait sur une multitude de plateformes. Pour la première fois cette année, le CEFRIO a cherché à déterminer le nombre de foyers dans lesquels on trouve une tablette numérique, comme l’iPad. Résultat : 27 % des foyers d’ici en ont une. Toutefois, les téléphones intelligents (42 % des foyers en possèdent un) et les ordinateurs portables (76 % ) demeurent plus populaires.

Tendance vers la mobilité

Si le classique ordinateur à tour est toujours utilisé dans de nombreux foyers québécois, le choix de la mobilité s’impose, selon ce qu’on observe dans la dernière étude du CEFRIO. Ainsi, 60 % des foyers possèdent désormais un ordinateur portable, alors que 52 % ont un ordinateur de bureau.

La haute vitesse, et que ça saute !

Près de 80 % des foyers québécois ont une connexion internet, mais une tendance marquée se dessine cette année pour la haute vitesse. Attendre que sa page se télécharge est chose du passé : les Québécois exigent maintenant la rapidité. Ainsi, 99 % des foyers connectés le sont en haute vitesse, contrairement à 94 % l’an dernier – un bond de 5 %.

Les yeux rivés sur les écrans

En combinant bureau et maison, les Québécois passent près de 20 heures par semaine sur l’internet. En moyenne, chaque personne a les yeux rivés sur son appareil mobile cinq heures par semaine, en plus des neuf heures passées devant un ordinateur au bureau et des sept heures sur un portable. Les jeunes (18-24 ans) passent quant à eux 28 heures sur l’internet par semaine. Un écart générationnel.

Plus âgés, moins branchés

Il y a de fortes chances que grand-maman et grand-papa n’envoient pas de courriels prochainement. Contrairement aux autres groupes d’âge étudiés, à peine 17 % des 75 ans et plus ont une connexion internet, contre 60 % pour les 65 à 74 ans. Même lorsqu’ils sont connectés, les plus âgés demeurent le groupe qui passe le moins de temps par semaine à naviguer. Pour les rejoindre, vaut mieux toujours utiliser le bon vieux téléphone.

Naviguer sur l’internet et vivre à l’ère numérique se fait sur une multitude de plateformes. Pour la première fois cette année, le CEFRIO a cherché à déterminer le nombre de foyers dans lesquels on trouve une tablette numérique, comme l’iPad. Résultat : 27 % des foyers d’ici en ont une. Toutefois, les téléphones intelligents (42 % des foyers en possèdent un) et les ordinateurs portables (76 % ) demeurent plus populaires.

Si le classique ordinateur à tour est toujours utilisé dans de nombreux foyers québécois, le choix de la mobilité s’impose, selon ce qu’on observe dans la dernière étude du CEFRIO. Ainsi, 60 % des foyers possèdent désormais un ordinateur portable, alors que 52 % ont un ordinateur de bureau.

Près de 80 % des foyers québécois ont une connexion internet, mais une tendance marquée se dessine cette année pour la haute vitesse. Attendre que sa page se télécharge est chose du passé : les Québécois exigent maintenant la rapidité. Ainsi, 99 % des foyers connectés le sont en haute vitesse, contrairement à 94 % l’an dernier, un bond de 5 %.

En combinant bureau et maison, les Québécois passent près de 20 heures par semaine sur l’internet. En moyenne, chaque personne a les yeux rivés sur son appareil mobile cinq heures par semaine, en plus des neuf heures passées devant un ordinateur au bureau et des sept heures sur un portable. Les jeunes (18-24 ans) passent quant à eux 28 heures sur l’internet par semaine. Un écart générationnel.

Il y a de fortes chances que grand-maman et grand-papa n’envoient pas de courriels prochainement. Contrairement aux autres groupes d’âge étudiés, à peine 17 % des 75 ans et plus ont une connexion internet, contre 60 % pour les 65 à 74 ans. Même lorsqu’ils sont connectés, les plus âgés demeurent le groupe qui passe le moins de temps par semaine à naviguer. Pour les rejoindre, vaut mieux toujours utiliser le bon vieux téléphone.