Pour l’information de qualité
Les Églises et une multitude d’organismes religieux sont reconnus comme organismes de bienfaisance. L’information de qualité mérite certainement ce statut aussi !
— Lucie Forand, Montréal
Danger de laisser-aller ?
Une question me chicote : en fonction de ce nouveau système « OBNL », comment seront contrôlés les salaires et autres dépenses ? N’existe-t-il pas un danger d’un certain laisser-aller au niveau de la direction ?
— Gilles Barbeau
Essentiel à la démocratie
Dès que La Presse est passée au numérique, j’ai téléchargé l’application sur ma tablette. Chaque jour, je me disais que ça ne pouvait pas rester gratuit. Et que si on demandait une quelconque contribution, je paierais volontiers. L’accès aussi facile à autant d’informations données avec autant de professionnalisme, c’est tout simplement magnifique. Libre donc à chacun, chacune, de donner selon ses moyens et ainsi aider à préserver un outil essentiel à la démocratie.
— Marie-Anne LeBlanc
Merci de faire de La Presse+ un rituel
J’espère que La Presse+ va continuer. J’ai acheté une tablette pour ça : les nouvelles, les opinions, le monde, les mots croisés et le sudoku. Je peux la lire n’importe où, en Europe, aux États-Unis. Elle m’accompagne dans les salles d’attente, les aéroports, chez le médecin. Je me tiens au courant. Merci d’en faire un rituel. Je n’aurais jamais donné mon opinion au téléphone ou par écrit autrefois. Mais là, je me le permets. Merci encore.
— Louise Lauzon
Comme les passagers du Titanic…
Je trouve navrant de lire et d’entendre des concurrents tirer à boulets rouges sur le projet de La Presse. Même le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée, se met à faire de la petite politique en y voyant les méchants d’Ottawa. Ne pourrait-on pas voir ensemble comment conserver nos médias dans la meilleure forme possible au lieu de souhaiter la disparition d’un concurrent ?
Ça me fait penser aux passagers du Titanic qui seraient contents de voir leur voisin couler en oubliant qu’ils sont tous sur le même bateau. Bravo de tenter quelque chose au lieu de ne rien faire et de vouloir la fermeture du concurrent le plus innovant.
— Robert Audet
Un quotidien de grande qualité
Mes dons ont toujours été faits à des organismes humanitaires. Je ferai une seule exception : je donnerai afin d’assurer la survie de ce beau quotidien de très grande qualité. Je ne veux pas perdre ce très grand plaisir de « feuilleter » La Presse tous les jours. À quand la campagne de financement ?
— Michel Hétu
Pari risqué
Je souhaite bonne chance à La Presse avec son nouveau modèle d’affaires. Cependant, je trouve très risqué de se fier sur l’expérience philanthropique du monde anglo-saxon et de le transposer au Québec. Au Québec, ces traditions n’ont rien à voir avec ce qu’on retrouve aux États-Unis, dans le reste du Canada ou au Royaume-Uni.
— Denis Prévost, Saint-Lambert
La Presse pour longtemps !
Je suis un lecteur de La Presse depuis très longtemps. Je me suis adapté au format numérique, et je suis fier de pouvoir lire ma Presse partout dans le monde. La transformation du modèle doit en partie être assumée par les lecteurs, les gouvernements et la publicité. J’espère que La Presse continuera d’informer, avec tout le professionnalisme qu’on lui connaît, mes petits-enfants et leurs descendants pour encore très longtemps !
— Richard Beauchamp, lecteur assidu
Quelle mesquinerie !
Les commentaires lus sur Facebook ces derniers jours m’ont sérieusement agressée. Ils sont tous empreints de parti pris politiques et viennent souiller le débat sur la survie des médias écrits. Quelle misère et quelle mesquinerie !
— Danielle Tremblay
Un quotidien qui sait innover
La réaction des autres médias s’explique en partie par la jalousie à l’endroit d’un quotidien qui a su innover en modifiant son support papier traditionnel pour la tablette électronique, et en partie par un esprit de vengeance de ceux qui croient à tort que La Presse était un organe de propagande du Parti libéral et de Power Corporation.
— Guy Ferland, enseignant en philosophie au Collège Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse
Des questions qui s’imposent
Je trouve que ce qui est proposé pour sauver La Presse est intéressant. Par contre, j’ai une réserve au sujet de la future direction de la fiducie. Comment peut-on prétendre d’un côté que la famille Desmarais ne sera plus liée à La Presse et en même temps attribuer à Power Corporation un rôle prépondérant dans le choix des directeurs de la fiducie ?
Dans les circonstances, je me demande si tout ce changement ne vise qu’à soulager le portefeuille des Desmarais tout en laissant à cette famille la capacité de diriger et d’influencer la direction et les orientations de La Presse. Est-il justifié de demander aux citoyens d’assumer dorénavant les déficits du quotidien ?
— Léo Martin, Québec
Une vision et du courage
J’applaudis toute l’énergie déployée par la grande famille de La Presse afin de sauver et d’assurer la pérennité de cette organisation centenaire dans ce monde en grande mouvance.
Jamais le statu quo n’est une solution ; et choisir, en toute humilité, mais aussi avec beaucoup de vision, de redéfinir son modèle d’affaires dénote un grand courage entrepreneurial et un engagement inspirant.
Merci de mettre vos compétences collectives à la recherche de solutions innovantes et pertinentes pour assurer au lectorat actuel et à venir un média d’information solide, crédible, et dont nous pourrons continuer à être fiers !
Un lecteur à la fois ? Je dis : présente ! Hier, le format de La Presse m’a permis d’échanger avec mes voisins immédiats dans le métro. Aujourd’hui, je partage les écrans les plus pertinents avec mon fils de 11 ans et demain, qui sait ? Mais j’y serai !
— Silvie Désaulniers