Ce qu’il reste des migrants
En octobre 2015, le photographe Frédéric Séguin s’est rendu dans l’île de Lesbos, en Grèce, pour couvrir la crise des réfugiés, alors à son paroxysme. Il y est retourné six mois plus tard pour voir où en était la situation. Le nombre de migrants a grandement diminué, constate-t-il. Mais il reste encore les traces de leur passage : des montagnes de déchets que des bénévoles tentent aujourd’hui de faire disparaître tant bien que mal.
Jean-Christophe Laurence et Frédéric Séguin, collaboration spéciale
La Presse