Dans un texte paru le 29 avril dernier, nous avons pu laisser entendre que l’avocat Jules Boisvert avait été complice d’un réseau de fraudeurs spécialisés dans la « fraude aux grands-parents ». Or nous avons été informés depuis que son nom était utilisé à son insu par les présumés fraudeurs et qu’il avait collaboré avec les forces policières. Nos excuses.

Dans notre article intitulé « Le musée qui célèbre l’échec », publié le 29 avril, nous écrivions qu’à son sommet, l’entreprise Eastman Kodak employait 160 000 personnes à Rochester, dans l’État de New York. L’entreprise y employait plutôt 60 000 personnes. Nos excuses.

Concernant notre article « Parler aux jeunes de “queue” et de “chatte” pour prévenir les dérives », le Service de police de l’agglomération de Longueuil précise qu’il a contribué à bâtir des ateliers ‎de prévention sur le sextage entre adolescents dans le cadre du projet « Si j’avais su », mais que ce sont des intervenants du comité Sexualité et influence$ de la Table jeunesse Samuel-de-Champlain qui sont à l’origine du projet et qui font la tournée des écoles secondaires.