CYBERACTIF

La technologie qui rend la main verte

On retrouve dans la plupart des maisons des plantes d’intérieur, mais peu abritent un jardinier à temps plein. Un expert qui saurait quels sont les besoins de la plante en eau, en ensoleillement et en engrais, selon son espèce et sa variété. Et qui pourrait détecter au premier coup d’œil une plante en détresse. Eh bien, cet expert est déjà présent dans la plupart des foyers canadiens : c’est votre téléphone intelligent ou votre tablette. Voici comment utiliser ses capacités horticoles.

ÉTAPE 1 : L’IDENTIFICATION (ILLUSTRATIONS 1A, 1B, 1C ET 1D)

C’est l’étape la plus difficile pour le commun des mortels. L’objectif est de trouver une application qui, à partir d’une simple photo, permettrait l’identification. La Presse+ en a testé une demi-douzaine qui prétendent réaliser cet exploit, notamment PlantNet, Plantifier, Leafsnap et même Google. Aucune n’a donné de résultat convaincant. Il faut se rabattre sur la recherche textuelle de Google, avec des critères simples comme « plante d’intérieur grasse » et « fleur rose ». On obtient alors des dizaines de photos qu’on peut survoler rapidement. De toutes les méthodes testées, c’est la plus rapide.

ÉTAPE 2 : LES BESOINS (ILLUSTRATIONS 2A, 2B ET 2C)

Une fois trouvées l’espèce et la variété, on peut mieux connaître les besoins de la plante en ce qui concerne l’arrosage, l’ensoleillement et l’engrais. Un plant de basilic a besoin d’un sol très humide, presque mouillé, et préfère le soleil direct. Tout le contraire du zamioculcas, qui veut peu d’eau et de soleil. Où trouver ces informations ? Les applications qui les offrent sont nombreuses. Mentionnons Gardening Care (0,99 $), The Plant Doctor (2,99 $) et Koubachi (gratuit).

ÉTAPE 3 : LES SOINS (ILLUSTRATIONS 3A ET 3B)

Bon, maintenant qu’on sait comment soigner une plante, il faut se rappeler quand il faut le faire. Toutes les informations accumulées plus haut peuvent être entrées dans des applications qui se chargeront, par notification, de rappeler le jardinier domestique à ses devoirs. myFlower (0,99 $), House Plants (1,99 $) et encore Koubachi vous laissent noter le moment des derniers arrosages et fertilisation et feront apparaître un message sur votre téléphone intelligent ou votre tablette quand de nouveaux soins seront nécessaires.

ÉTAPE 4 : LE FIN DU FIN (ILLUSTRATIONS EN GALERIE PHOTO 4A, 4B ET 4C + PHOTO LA PRESSE)

Nous avons gardé le meilleur pour la fin. Toutes les étapes précédentes, et plus encore, peuvent être accomplies par un gadget qui semble improbable, mais qui a été testé pendant un mois par La Presse+ : le Flower Power, de l’entreprise Parrot. Son application gratuite permet d’identifier les plantes selon plusieurs critères et de connaître leurs besoins. Mais c’est surtout son capteur intelligent qu’on plante dans la terre qui est un allié précieux : il détecte en temps réel l’humidité, la fertilisation, l’ensoleillement et la température. Les informations du Flower Power sont envoyées par Bluetooth et peuvent être consultées sur des tableaux.

ÉTAPE 5 : ALERTES EN DIRECT (ILLUSTRATIONS EN GALERIE 5A, 5B ET 5C – 5D ET 5E EN OPTION)

Quand la plante a besoin de quoi que ce soit, le Flower Power envoie un avertissement à son propriétaire. Un anthurium plutôt mal en point est devenu, en un mois, une belle plante pétante de santé. La pile a une autonomie de huit mois et le capteur peut être déplacé sans difficulté d’une plante à l’autre. Seul hic : le coût plutôt élevé du capteur, à 69,95 $ chez iStore à Montréal, qui l’a gracieusement prêté pour le test.

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ÉTAPE 1 : L’IDENTIFICATION

C’est l’étape la plus difficile pour le commun des mortels. L’objectif est de trouver une application qui, à partir d’une simple photo, permettrait l’identification. La Presse+ en a testé une demi-douzaine qui prétendent réaliser cet exploit, notamment PlantNet, Plantifier, Leafsnap et même Google. Aucune n’a donné de résultat convaincant. Il faut se rabattre sur la recherche textuelle de Google, avec des critères simples comme « plante d’intérieur grasse » et « fleur rose ». On obtient alors des dizaines de photos qu’on peut survoler rapidement. De toutes les méthodes testées, c’est la plus rapide.

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ÉTAPE 2 : LES BESOINS

Une fois trouvées l’espèce et la variété, on peut mieux connaître les besoins de la plante en ce qui concerne l’arrosage, l’ensoleillement et l’engrais. Un plant de basilic a besoin d’un sol très humide, presque mouillé, et préfère le soleil direct. Tout le contraire du zamioculcas, qui veut peu d’eau et de soleil. Où trouver ces informations ? Les applications qui les offrent sont nombreuses. Gardening Care (0,99 $), The Plant Doctor (2,99 $) et Koubachi (gratuit), entre autres.

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ÉTAPE 3 :  LES SOINS

Bon, maintenant qu’on sait comment soigner une plante, il faut se rappeler quand il faut le faire. Toutes les informations accumulées plus haut peuvent être entrées dans des applications qui se chargeront, par notification, de rappeler le jardinier domestique à ses devoirs. myFlower (0,99 $), House Plants (1,99 $) et encore Koubachi vous laissent noter le moment des derniers arrosages et fertilisation et feront apparaître un message sur votre téléphone intelligent ou votre tablette quand de nouveaux soins seront nécessaires.

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ÉTAPE 4 : LE FIN DU FIN

Nous avons gardé le meilleur pour la fin. Toutes les étapes précédentes, et plus encore, peuvent être accomplies par un gadget qui semble improbable, mais qui a été testé pendant un mois par La Presse+ : le Flower Power, de l’entreprise Parrot. Son application gratuite permet d’identifier les plantes selon plusieurs critères et de connaître leurs besoins. Mais c’est surtout son capteur intelligent qu’on plante dans la terre qui est un allié précieux : il détecte en temps réel l’humidité, la fertilisation, l’ensoleillement et la température. Les informations du Flower Power sont envoyées par Bluetooth et peuvent être consultées sur des tableaux.

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ÉTAPE 5 : ALERTES EN DIRECT

Quand la plante a besoin de quoi que ce soit, le Flower Power envoie un avertissement à son propriétaire. Un anthurium plutôt mal en point est devenu, en un mois, une belle plante pétante de santé. La pile a une autonomie de huit mois et le capteur peut être déplacé sans difficulté d’une plante à l’autre. Seul hic : le coût plutôt élevé du capteur, à 69,95 $ chez iStore à Montréal, qui l’a gracieusement prêté pour le test.

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