Étude sur la radicalisation en milieu scolaire
Motifs divers
La Presse
La quête d’identité, le besoin d’obtenir des réponses quant à certaines réalités sociales, le goût de l’aventure, le désir d’être utile dans le monde : voilà plusieurs facteurs qui peuvent inciter un jeune à vouloir partir vers une zone de guerre, souligne le D
Benjamin Ducol, responsable de la recherche au Centre. L’étude révèle que plusieurs des jeunes Québécois qui voulaient partir vers la Syrie souhaitaient vivre un « islam pur », idéalisé. Les filles parlaient davantage de travail humanitaire et d’aider la population locale. Les garçons envisageaient davantage un rôle de combattant.