Flashes

Ça fait jaser

Ces personnalités font parler d’elles pour le meilleur ou pour le pire. Tour d’horizon des nouvelles d’ici ou d’ailleurs qui animeront les conversations autour de la machine à café.

Littérature

Quoi faire au Salon ?

Six activités, tables rondes et ateliers à ne pas manquer au Salon du livre qui ouvre ses portes mercredi.

Impro poétique avec David Goudreault

Quand David Goudreault est dans la place, il se passe toujours quelque chose. L’écrivain, poète et slammeur, auteur de la trilogie de La bête et du récent Ta mort à moi, nous convie à une improvisation poétique. Envie d’échanger des rimes en mode freestyle et de laisser aller sa créativité ? Pas besoin d’être un pro, l’atelier est ouvert à tous et à toutes. Et avec Goudreault à l’animation, on prédit que ça donnera quelque chose d’assez génial.

— Nathalie Collard, La Presse

Samedi 23 novembre, de 11 h 50 à 12 h 15 à l’espace jeunesse TD

Le corps, lieu de pouvoir

Une discussion on ne peut plus d’actualité autour des thèmes de la grossophobie et de la diversité corporelle telle que représentée dans la littérature (essais, romans, etc.). On parlera entre autres d’une démarche de réappropriation du corps en compagnie des auteurs et autrices Marie-Noëlle Hébert, Mickaël Bergeron et Lynda Dion. L’atelier, présenté par la maison d’édition XYZ, sera animé par Josiane Stratis.

— Nathalie Collard, La Presse

Vendredi 22 novembre, de 17 h à 17 h 45, à La Grande place

C’est quoi, un père « juste correct » ?

Une discussion qui promet d’être passionnante! Animée par la journaliste et autrice Rose-Aimée Automne T. Morin, elle réunira l’écrivaine et dramaturge Fanny Britt, mère de deux garçons, et Samuel Archibald, écrivain, scénariste, professeur et papa d’un garçon et d’une fille. À trois, ils réfléchiront à voix haute sur ce que signifie être un père « suffisamment bon » en 2019.

— Nathalie Collard, La Presse

Samedi 23 novembre, de 10 h 05 à 10 h 50, à l’Agora

Rencontrer l’autre solitude

On évoque souvent les deux solitudes pour parler du fossé linguistique qui sépare les francophones des anglophones au Canada et au Québec. Organisée par la Quebec Writers’ Federation et l’Association des éditeurs de langue anglaise du Québec, la série Get Lit! propose de faire le pont entre les deux avec des évènements permettant la rencontre entre auteurs francophones et anglophones d’ici, les 20 et 23 novembre. À ne pas manquer samedi, une soirée de reprises littéraires bilingue animée par Sean Michaels avec notamment Lindsay Nixon, autochtone trans, queer et non-binaire qui a reçu le prix littéraire du QWF Literary Awards la semaine dernière, qui récompense un livre québécois anglophone.

— Iris Gagnon-Paradis, La Presse

Samedi 23 novembre à 19 h, à l’Espace littéraire

L’Ovni s’amène au Québec

L’Ovni est une application de lecture française, qui publie chaque mois un magazine numérique mettant de l’avant des auteurs et artistes hors norme issus du monde francophone. Pour son lancement au Québec, en collaboration avec Alto, ce cabinet de curiosités virtuel lancera pour la première fois un numéro entièrement consacré à la littérature québécoise, avec des textes de Simon Boulerice, Alexie Morin et Anne-Marie Olivier, entre autres. L’équipe française sera présente durant tout le SLM et une table ronde est aussi au programme pour faire découvrir le projet plus en profondeur.

— Iris Gagnon-Paradis, La Presse

Vendredi 22 novembre à 18 h 30, à l’Espace innovant Vues et Voix

La Presse au SLM

Plusieurs journalistes de La Presse animeront des rencontres au SLM. À ne pas manquer, la rencontre entre Nathalie Collard et le très en vue Kevin Lambert, qui feront une anatomie du succès que remporte Querelle de Roberval, près d’un an après sa parution (22 novembre, midi, à l’Agora). Le chroniqueuse Chantal Guy rencontrera pour sa part Marie-Andrée Lamontagne, autrice de la première et colossale biographie d’Anne Hébert, parue aux Éditions Boréal (23 novembre, 12 h 30, à L’Agora). Les lettres d’amour existent-elles encore ? C’est la question que se posera la journaliste Silvia Galipeau en compagnie de Morgane Ortin, autrice du compte Instagram et du livre Amours solitaires, et de Benoît Melançon, professeur à l’Université de Montréal (21 novembre, midi, à l’Agora).

— Iris Gagnon-Paradis, La Presse

Ça fait jaser

Une série pré Chinatown

Quarante-cinq ans après la sortie de Chinatown, qui lui a valu l’Oscar du meilleur scénario original, Robert Towne s’allie à David Fincher pour développer une série destinée à Netflix, inspirée du célèbre film de Roman Polanski. Selon le site spécialisé Deadline, cette série, pour laquelle les deux hommes agiraient à titre de producteurs délégués, s’attarderait à la jeunesse du détective Jake Gittes, incarné deux fois à l’écran par Jack Nicholson. Netflix aimerait que Fincher (The Social Network, Gone Girl), qui en a outre produit la série House of Cards, réalise l’émission pilote, mais rien n’est encore confirmé à cet égard. Polanski, de nouveau accusé de viol, n’est aucunement impliqué dans ce projet.

— Marc-André Lussier, La Presse

Ça fait jaser

Michelle Pfeiffer tourne à Montréal

Michelle Pfeiffer est à Montréal ! L’actrice de 61 ans a publié plus tôt cette semaine sur Instagram un cliché où on la voit fixant la célèbre œuvre murale de Leonard Cohen qui s’étire sur 21 étages, rue Crescent. L’interprète de la reine Ingrith dans le film Maleficent : Mistress of Evil (notamment !) a de plus choisi une citation du chanteur et poète montréalais pour coiffer son compte Instagram : There is a crack in everything. That’s how the light gets in. (Il y a une brèche dans toute chose. C’est par elle qu’entre la lumière.) L’actrice américaine est à Montréal pour le tournage du film French Exit du réalisateur Azael Jacobs.

— Stéphanie Morin, La Presse

Ça fait jaser

Christian Bale aurait pu incarner
Batman une quatrième fois

À l’époque où la trilogie du Chevalier noir, réalisée par Christopher Nolan, a atteint des sommets, autant sur le plan artistique que populaire, le studio Warner aurait insisté pour ajouter un autre volet à la série. Au Toronto Sun, Christian Bale, qui a incarné Batman dans les trois films de Nolan, a raconté avoir respecté la volonté du cinéaste, qui n’a jamais voulu prolonger sa trilogie. « Il m’a toujours dit que si nous avions la chance de pouvoir en faire trois, on devrait s’arrêter là, a indiqué l’acteur. Quand les producteurs, inévitablement, nous ont proposé un quatrième volet, je leur ai répondu que nous devions respecter le rêve de Chris [Nolan]. Inutile d’en faire trop avec un quatrième. » Batman est réapparu depuis dans quelques films de DC Comics, mais le studio Warner s’apprête maintenant à relancer une nouvelle franchise. The Batman, dont la sortie est prévue en 2021, sera réalisé par Matt Reeves et Robert Pattinson aura le rôle principal. — Marc-André Lussier, La Presse

Ça fait jaser

David Gilmour en procès pour un jingle

L’ancien guitariste de Pink Floyd, David Gilmour, est en procès avec le compositeur français Michaël Boumendil au sujet du refrain d’identification que la Société nationale des chemins de fer (SNCF) utilise depuis une quinzaine d’années. Après avoir entendu ce jingle dans un train à Aix-en-Provence, Gilmour en a négocié les droits afin de l’utiliser dans sa chanson Rattle That Lock. Or, Michaël Boumendil a entamé une poursuite de 450 000 euros en dommage, arguant qu’il avait donné son accord pour l’usage de notes similaires (do, sol, la bémol et mi bémol) et non le son officiel de la SNCF. La cour a rejeté la demande en première instance et M. Boumendil a porté sa cause en appel.

— André Duchesne, La Presse, d’après Télérama et The Guardian

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