Rentrée littéraire
Romans québécois
La Presse
, de Michel Tremblay (Leméac)
Octobre
Cette conclusion de la série La diaspora des Desrosiers est l’incontournable de la saison. L’histoire se termine un an avant le début de
, premier tome des Chroniques du Plateau-Mont-Royal. Tremblay boucle ainsi la boucle d’une saga familiale incomparable., de Michel Rabagliati (La Pastèque)
Octobre
On triche un peu, mais avec ses 184 pages,
est un véritable roman graphique et non une simple BD. La série de Michel Rabagliati, qui se passe de présentation, se poursuit à l’automne avec un Paul en pleine crise d’adolescence, l’année des Jeux olympiques de Montréal., de Marie Laberge (Québec Amérique)
Octobre
La prolifique auteure, qui fête cette année ses 40 ans de carrière, revient avec un roman à teneur psychologique, comme elle sait si bien les faire. Quinze ans après le suicide de Sylvain Côté, 29 ans, ses proches prennent la parole…
, de Patrick Senécal (Alire)
Octobre
Après un détour amusant par le cégep de Malphas, c’est un retour aux sources pour l’auteur de
, avec un roman bien noir et bien horrifiant. Le monde du cirque comme on ne l’a jamais vu., de Fanny Britt (Cheval d’août)
Octobre
Traductrice, auteure de théâtre, d’albums jeunesse et d’essais, Fanny Britt lance à l’automne un premier et très attendu roman. Elle y raconte l’histoire d’une chanteuse classique convertie en courtière immobilière, sur un ton intime qui navigue entre les regrets et la légèreté.
, d’Anaïs Barbeau-Lavalette (Marchand de feuilles)
Septembre
La multitalentueuse Anaïs Barbeau-Lavalette a retracé après sa mort le destin de sa grand-mère Suzanne, peintre automatiste et écrivaine. Cette vie tumultueuse lui a inspiré ce roman qui raconte « l’aventure d’une femme explosive, une femme volcan, une femme funambule, restée en marge de l’Histoire, qui traversa librement le siècle et ses tempêtes ».
, de Catherine Leroux (Alto)
Septembre
Catherine Leroux aime les faits divers. C’est la découverte en 2001 d’un squelette tout près de l’hôpital Victoria, toujours non identifié à ce jour, qui lui a inspiré ce troisième roman, après les remarqués
et ., de Marie-Claire Blais (Boréal)
Septembre
Marie-Claire Blais continue l’édification de cette œuvre sans commune mesure amorcée avec
il y a 20 ans. « aborde de la façon la plus directe qui soit le côté prophétique de l’écrivain et le fardeau qui lui échoit dans notre monde qui se défait », écrit son éditeur., de Marc Séguin (Leméac)
Octobre
Après les succès de
et , l’artiste visuel Marc Séguin s’affirme comme auteur en proposant un troisième roman. Entre présent et passé, on suivra l’histoire d’un chirurgien parti pratiquer dans le Nunavik., de Tristan Malavoy (Boréal)
Novembre
Acteur incontournable du milieu littéraire, le journaliste, poète, éditeur et même chanteur Tristan Malavoy propose un premier roman aux contours attirants. Portrait de trentenaires désemparés,
raconte la difficulté de faire face à l’âge adulte., de Martine Delvaux (Héliotrope) septembre
Devenue porte-étendard féministe avec son essai
sorti en 2013, Martine Delvaux est également auteure de romans. , qui arrive trois ans après , parle de « l’inconnu qui a refusé de devenir son père » et est annoncé comme son récit le plus intime., de Stéphane Dompierre (Québec Amérique)
Septembre.
Cette conclusion de la trilogie qui comprend
et s’intéresse au troisième larron du trio de copains, Nicolas. Le banlieusard père de famille traverse toute une crise de la quarantaine., collectif (Quai No 5)
Novembre
Dans ce collectif de haut niveau, sept auteurs aux profils différents – de Patrick Senécal à Perrine Leblanc, en passant par Chrystine Brouillet et Deni Béchar –, doivent livrer leur version d’une même prémisse : qu’est-il arrivé à Michel O’Toole, disparu le 15 mai 2015 quelque part sur la Côte-Nord ?