Entraînement 

Tendances sportives new-yorkaises

New York est un incubateur pour les nouvelles formes d’exercice. La méthode Pilates, l’entraînement à la barre, le spinning : plusieurs tendances de mise en forme ont pris leur envol à Manhattan avant de se retrouver au programme des gymnases de la planète. « If I can make it there, I’ll make it anywhere », chantait d’ailleurs Frank Sinatra au sujet de la Grosse Pomme. La Presse a testé les workouts new-yorkais les plus en vogue.

New York — Imaginez une salle où les murs changent de couleur au rythme endiablé de la musique et où des pastilles géantes s’illuminent sous vos pas. Non, vous n’êtes pas dans la discothèque la plus branchée de New York, mais plutôt dans le cours de mise en forme de l’heure.

La salle de sport la plus inusitée de Manhattan se trouve sans contredit au centre de conditionnement Asphalt Green, dans l’Upper East Side. C’est dans ce quartier réputé pour sa faune riche et célèbre que l’on pratique l’« AG6 », un entraînement de haute intensité où le participant est immergé dans une espèce de course à obstacles lumineuse.

« C’est comme s’entraîner dans un jeu vidéo ou dans un jeu d’arcade géant », décrit Ashley Lentz, entraîneuse en chef du Asphalt Green.

Étonnamment, ce qui frappe en entrant dans la pièce, ce n’est pas le décor psychédélique, mais plutôt les visages des participants du cours précédant le nôtre. Rouges, suants, tordus de douleur : le ton était donné avant même le début de notre séance.

« Wow ! C’était les 45 minutes les plus difficiles de ma vie », lancera d’ailleurs l’un de ces participants, en ajoutant fièrement qu’il a perdu 15 lb depuis qu’il a commencé à pratiquer ce sport en janvier.

travailler la Mémoire motrice

L’AG6 (AG pour Asphalt Green et 6 pour le sixième sens) s’adresse aux amateurs d’entraînement de type bootcamp. Il se différencie des autres entraînements fractionnés de haute intensité (communément connus sous le nom de HIIT pour « High Intensity Interval Training ») par ses exercices qui visent à améliorer la mémoire motrice.

Le groupe est divisé en équipes de deux ou trois personnes. Chaque équipe doit réaliser un circuit de sept exercices à quatre reprises durant la séance d’une heure.

L’une des stations consiste à se tenir en équilibre sur un ballon en frappant le plus rapidement possible des cercles qui s’illuminent au hasard sur le mur. Un autre atelier requiert de courir vers des carrés qui s’allument sur le sol pour les éteindre avec ses pieds.

Au cours de l’entraînement, il faudra aussi réaliser un parcours de marelle en portant des haltères, sauter par-dessus une série de blocs de mousse et faire un enchaînement de squats pour éteindre des rondelles lumineuses.

Près de 10 000 personnes ont essayé l’AG6 depuis son lancement, il y a moins de deux ans. « La réaction est incroyable, les gens adorent, dit Ashley Lentz. Je dirais même qu’on a maintenant un fan-club ! »

Bye-bye, vélo stationnaire, bonjour, tapis roulant

New York — Le tapis roulant n’est plus un plaisir – ou une torture – solitaire. À New York, les studios de group treadmill poussent comme des champignons.

C’est le Mile High Run Club qui a inventé cette formule de course en groupe en 2014. Près de 1400 coureurs se bousculent dans ses studios chaque semaine depuis. Aujourd’hui, même les grands centres sportifs offrent de tels cours à leur clientèle.

Pour les marathoniens, c’est un secret de polichinelle. Pour gagner des secondes au chronomètre, il faut faire des « intervalles », soit des segments d’entraînement à des vitesses plus élevées.

La coureuse Debora Warner a fondé le Mile High Run Club, car elle sentait que d’autres joggeurs partageaient son désir de faire des entraînements de vitesse en groupe, mais sans ressentir la pression de suivre le rythme du coureur le plus rapide.

« C’est vraiment l’atmosphère de groupe qui nourrit l’énergie en classe. Nos groupes de coureurs assidus disent souvent que nous sommes leur église », explique le PDG de Mile High Run Club, Rich Velazquez.

Comme dans les cours de vélo stationnaire, un entraîneur dirige la séance au rythme d’une musique tonitruante. Au Mile High Run Club, les murs sont éclairés de différentes couleurs au gré de l’effort des athlètes, passant du bleu foncé lors de l’échauffement au rouge vif lors des foulées les plus rapides.

Varier les efforts

Des séances de 30, 45 et 60 minutes sont offertes. Le cours de 45 minutes que nous avons essayé nous a permis de franchir une distance d’environ 7 km.

« Notre coaching n’est pas axé sur le kilométrage parcouru ou sur la vitesse, précise cependant Rich Velazquez. On s’attaque davantage au pourquoi des intervalles. Chaque entraînement est structuré et planifié avec intention. Nous tentons de varier les degrés d’effort et les périodes de récupération ainsi que de guider nos coureurs avec des corrections et du feedback. »

Les caprices de dame nature plombent souvent la motivation des coureurs. « Dans n’importe quel sport, la constance est la clé de la réussite, rappelle Rich Velazquez. Nos athlètes sont réconfortés par le fait que nous sommes toujours là, peu importe les circonstances. Je pense que nous les aidons à respecter leur plan d’entraînement pour atteindre leurs buts, que ce soit pour une course ou pour améliorer leur forme physique. »

La boxe sort du ring

New York — Dans une ville où l’on trouve un gymnase à chaque coin de rue, les centres de conditionnement rivalisent d’imagination pour attirer les clients. Du yoga nu aux séances d’aérobie exclusivement consacrées à la reproduction de chorégraphies de la chanteuse Beyoncé, New York a décidément tout vu.

Avec ses murs-écrans, son éclairage ultraviolet et ses sacs de boxe lustrés, le Rumble Boxing a mis le paquet pour séduire sa clientèle, majoritairement composée de femmes milléniales. Cette mise en scène hautement photogénique pour les réseaux sociaux est le théâtre d’entraînements vigoureux de boxe, mais sans les bleus. Le but n’est pas de s’entraîner pour se battre, mais plutôt de brûler des calories : jusqu’à 13 par minute, prétend le site web.

De plus en plus, à New York, la boxe sort du ring. De nombreux nouveaux concepts sportifs puisent dans les méthodes de préparation de ce sport qui exige d’être au sommet de sa forme.

Dix « rounds »

L’entraînement de 45 minutes du Rumble Boxing est structuré autour de 10 « rounds » de boxe. Chaque participant se fait attribuer un sac en forme de larme rempli d’eau.

La première ronde débute. L’entraîneur est posté sur un podium en face du groupe où il joue le rôle de DJ en mimant les coups de boxe dans les airs. « Coup de poing, jab, jab, crochet, uppercut, crochet. »

À chaque round, la séquence de coups à réaliser apparaît sur un écran géant fixé au-dessus de nos têtes.

Les rondes au sac de boxe sont entrecoupées de séries d’exercices au sol plus classiques comme des pompes, des squats, des sauts de grenouille (burpees) ou des redressements assis.

L’entraînement se déroule dans la quasi-obscurité. L’atmosphère rappelle celle d’une piste de danse. « Nous passons une grande partie de notre vie préoccupés par notre apparence. Cela nous retient de vivre les expériences pleinement », explique Kory Flores, entraîneuse au Rumble Boxing.

« Pensez à la dernière fois où vous êtes allé en boîte avec vos amis tard le soir : les lumières, la musique qui joue à tue-tête, des gens amusants, une énergie incroyable… Ce sont les meilleurs ingrédients pour s’amuser. Nous avons incorporé ces mêmes éléments pour donner à nos clients la liberté d’être qui ils veulent, ainsi qu’un espace pour vivre de l’inconfort. Dans le noir, vous pouvez grimacer follement, vous pouvez suer à grosses gouttes. »

Tenir la forme, un bond à la fois

New York — Dans les années 80, l’actrice Jane Fonda a lancé un véritable mouvement en popularisant les classes d’aérobie. Même si son ascendant est toujours palpable dans les cours de type « cardio-tonus » ou « abdos-fesses-cuisses », on pourrait croire que le marché pour ce genre d’exercices est saturé. Pourtant, la formule se renouvelle constamment.

À New York, la version 2018 compte un ajout : le minitrampoline.

Une poignée d’entreprises new-yorkaises semblent avoir conçu simultanément des cours de groupe autour de cet objet. Au Bari Studio, dans le quartier branché de Tribeca, on promet de sculpter le corps en sautant, dansant et joggant pour 45 minutes sur son trampoline personnel.

Avec des noms de cours comme « Bounce Queen », « Party Up » et « Arm Candy », on s’attendait à une expérience ludique et décontractée. Lors de notre essai, la musique était certes festive, mais la dizaine de participants se donnait à fond, concentrée à réaliser les séquences rapides de sauts.

Coordination et équilibre

Nous ne sommes pas dans une représentation du Cirque du Soleil, mais il faut tout de même une grande coordination et beaucoup d’équilibre pour suivre le professeur complètement survolté. Pour la grâce, on repassera.

Quelques postures de yoga sont intégrées ici et là. Certains exercices ont aussi recours à des bandes élastiques fixées au plafond qu’il faut tirer dans le but de muscler ses bras.

Les cours de groupe sur minitrampoline ne sont vraisemblablement pas pour tous, mais c’est une bonne option pour les sportifs qui cherchent à faire grimper leurs pulsations cardiaques sans mettre leurs articulations en péril. L’entraînement est doux pour les genoux. Les gens qui se remettent d’une blessure sportive y trouveront ainsi peut-être leur compte. Les personnes en quête d’expériences hors du commun, assurément.

Entraînement 

Tendances sportives new-yorkaises

New York est un incubateur pour les nouvelles formes d’exercice. La méthode Pilates, l’entraînement à la barre, le spinning : plusieurs tendances de mise en forme ont pris leur envol à Manhattan avant de se retrouver au programme des gymnases de la planète. « If I can make it there, I’ll make it anywhere », chantait d’ailleurs Frank Sinatra au sujet de la Grosse Pomme. La Presse a testé les workouts new-yorkais les plus en vogue.

New York —  — Imaginez une salle où les murs changent de couleur au rythme endiablé de la musique et où des pastilles géantes s’illuminent sous vos pas. Non, vous n’êtes pas dans la discothèque la plus branchée de New York, mais plutôt dans le cours de mise en forme de l’heure.

La salle de sport la plus inusitée de Manhattan se trouve sans contredit au centre de conditionnement Asphalt Green, dans l’Upper East Side. C’est dans ce quartier réputé pour sa faune riche et célèbre que l’on pratique l’« AG6 », un entraînement de haute intensité où le participant est immergé dans une espèce de course à obstacles lumineuse.

« C’est comme s’entraîner dans un jeu vidéo ou dans un jeu d’arcade géant », décrit Ashley Lentz, entraîneuse en chef du Asphalt Green.

Étonnamment, ce qui frappe en entrant dans la pièce, ce n’est pas le décor psychédélique, mais plutôt les visages des participants du cours précédant le nôtre. Rouges, suants, tordus de douleur : le ton était donné avant même le début de notre séance.

« Wow ! C’était les 45 minutes les plus difficiles de ma vie », lancera d’ailleurs l’un de ces participants, en ajoutant fièrement qu’il a perdu 15 lb depuis qu’il a commencé à pratiquer ce sport en janvier.

travailler la Mémoire motrice

L’AG6 (AG pour Asphalt Green et 6 pour le sixième sens) s’adresse aux amateurs d’entraînement de type bootcamp. Il se différencie des autres entraînements fractionnés de haute intensité (communément connus sous le nom de HIIT pour « High Intensity Interval Training ») par ses exercices qui visent à améliorer la mémoire motrice.

Le groupe est divisé en équipes de deux ou trois personnes. Chaque équipe doit réaliser un circuit de sept exercices à quatre reprises durant la séance d’une heure.

L’une des stations consiste à se tenir en équilibre sur un ballon en frappant le plus rapidement possible des cercles qui s’illuminent au hasard sur le mur. Un autre atelier requiert de courir vers des carrés qui s’allument sur le sol pour les éteindre avec ses pieds.

Au cours de l’entraînement, il faudra aussi réaliser un parcours de marelle en portant des haltères, sauter par-dessus une série de blocs de mousse et faire un enchaînement de squats pour éteindre des rondelles lumineuses.

Près de 10 000 personnes ont essayé l’AG6 depuis son lancement, il y a moins de deux ans. « La réaction est incroyable, les gens adorent, dit Ashley Lentz. Je dirais même qu’on a maintenant un fan-club ! »

Bye-bye, vélo stationnaire, bonjour, tapis roulant

New York — Le tapis roulant n’est plus un plaisir – ou une torture – solitaire. À New York, les studios de group treadmill poussent comme des champignons.

C’est le Mile High Run Club qui a inventé cette formule de course en groupe en 2014. Près de 1400 coureurs se bousculent dans ses studios chaque semaine depuis. Aujourd’hui, même les grands centres sportifs offrent de tels cours à leur clientèle.

Pour les marathoniens, c’est un secret de polichinelle. Pour gagner des secondes au chronomètre, il faut faire des « intervalles », soit des segments d’entraînement à des vitesses plus élevées.

La coureuse Debora Warner a fondé le Mile High Run Club, car elle sentait que d’autres joggeurs partageaient son désir de faire des entraînements de vitesse en groupe, mais sans ressentir la pression de suivre le rythme du coureur le plus rapide.

« C’est vraiment l’atmosphère de groupe qui nourrit l’énergie en classe. Nos groupes de coureurs assidus disent souvent que nous sommes leur église », explique le PDG de Mile High Run Club, Rich Velazquez.

Comme dans les cours de vélo stationnaire, un entraîneur dirige la séance au rythme d’une musique tonitruante. Au Mile High Run Club, les murs sont éclairés de différentes couleurs au gré de l’effort des athlètes, passant du bleu foncé lors de l’échauffement au rouge vif lors des foulées les plus rapides.

Varier les efforts

Des séances de 30, 45 et 60 minutes sont offertes. Le cours de 45 minutes que nous avons essayé nous a permis de franchir une distance d’environ 7 km.

« Notre coaching n’est pas axé sur le kilométrage parcouru ou sur la vitesse, précise cependant Rich Velazquez. On s’attaque davantage au pourquoi des intervalles. Chaque entraînement est structuré et planifié avec intention. Nous tentons de varier les degrés d’effort et les périodes de récupération ainsi que de guider nos coureurs avec des corrections et du feedback. »

Les caprices de dame nature plombent souvent la motivation des coureurs. « Dans n’importe quel sport, la constance est la clé de la réussite, rappelle Rich Velazquez. Nos athlètes sont réconfortés par le fait que nous sommes toujours là, peu importe les circonstances. Je pense que nous les aidons à respecter leur plan d’entraînement pour atteindre leurs buts, que ce soit pour une course ou pour améliorer leur forme physique. »

La boxe sort du ring

New York — Dans une ville où l’on trouve un gymnase à chaque coin de rue, les centres de conditionnement rivalisent d’imagination pour attirer les clients. Du yoga nu aux séances d’aérobie exclusivement consacrées à la reproduction de chorégraphies de la chanteuse Beyoncé, New York a décidément tout vu.

Avec ses murs-écrans, son éclairage ultraviolet et ses sacs de boxe lustrés, le Rumble Boxing a mis le paquet pour séduire sa clientèle, majoritairement composée de femmes milléniales. Cette mise en scène hautement photogénique pour les réseaux sociaux est le théâtre d’entraînements vigoureux de boxe, mais sans les bleus. Le but n’est pas de s’entraîner pour se battre, mais plutôt de brûler des calories : jusqu’à 13 par minute, prétend le site web.

De plus en plus, à New York, la boxe sort du ring. De nombreux nouveaux concepts sportifs puisent dans les méthodes de préparation de ce sport qui exige d’être au sommet de sa forme.

Dix « rounds »

L’entraînement de 45 minutes du Rumble Boxing est structuré autour de 10 « rounds » de boxe. Chaque participant se fait attribuer un sac en forme de larme rempli d’eau.

La première ronde débute. L’entraîneur est posté sur un podium en face du groupe où il joue le rôle de DJ en mimant les coups de boxe dans les airs. « Coup de poing, jab, jab, crochet, uppercut, crochet. »

À chaque round, la séquence de coups à réaliser apparaît sur un écran géant fixé au-dessus de nos têtes.

Les rondes au sac de boxe sont entrecoupées de séries d’exercices au sol plus classiques comme des pompes, des squats, des sauts de grenouille (burpees) ou des redressements assis.

L’entraînement se déroule dans la quasi-obscurité. L’atmosphère rappelle celle d’une piste de danse. « Nous passons une grande partie de notre vie préoccupés par notre apparence. Cela nous retient de vivre les expériences pleinement », explique Kory Flores, entraîneuse au Rumble Boxing.

« Pensez à la dernière fois où vous êtes allé en boîte avec vos amis tard le soir : les lumières, la musique qui joue à tue-tête, des gens amusants, une énergie incroyable… Ce sont les meilleurs ingrédients pour s’amuser. Nous avons incorporé ces mêmes éléments pour donner à nos clients la liberté d’être qui ils veulent, ainsi qu’un espace pour vivre de l’inconfort. Dans le noir, vous pouvez grimacer follement, vous pouvez suer à grosses gouttes. »

Tenir la forme, un bond à la fois

New York — Dans les années 80, l’actrice Jane Fonda a lancé un véritable mouvement en popularisant les classes d’aérobie. Même si son ascendant est toujours palpable dans les cours de type « cardio-tonus » ou « abdos-fesses-cuisses », on pourrait croire que le marché pour ce genre d’exercices est saturé. Pourtant, la formule se renouvelle constamment.

À New York, la version 2018 compte un ajout : le minitrampoline.

Une poignée d’entreprises new-yorkaises semblent avoir conçu simultanément des cours de groupe autour de cet objet. Au Bari Studio, dans le quartier branché de Tribeca, on promet de sculpter le corps en sautant, dansant et joggant pour 45 minutes sur son trampoline personnel.

Avec des noms de cours comme « Bounce Queen », « Party Up » et « Arm Candy », on s’attendait à une expérience ludique et décontractée. Lors de notre essai, la musique était certes festive, mais la dizaine de participants se donnait à fond, concentrée à réaliser les séquences rapides de sauts.

Coordination et équilibre

Nous ne sommes pas dans une représentation du Cirque du Soleil, mais il faut tout de même une grande coordination et beaucoup d’équilibre pour suivre le professeur complètement survolté. Pour la grâce, on repassera.

Quelques postures de yoga sont intégrées ici et là. Certains exercices ont aussi recours à des bandes élastiques fixées au plafond qu’il faut tirer dans le but de muscler ses bras.

Les cours de groupe sur minitrampoline ne sont vraisemblablement pas pour tous, mais c’est une bonne option pour les sportifs qui cherchent à faire grimper leurs pulsations cardiaques sans mettre leurs articulations en péril. L’entraînement est doux pour les genoux. Les gens qui se remettent d’une blessure sportive y trouveront ainsi peut-être leur compte. Les personnes en quête d’expériences hors du commun, assurément.

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