C’est le nombre de volumes que comptera l’autobiographie du chanteur country Garth Brooks, qui, visiblement, a beaucoup de choses à raconter. La sortie du tome 1 est prévue pour le 14 novembre.

— Nathalie Collard, La Presse

Soyez attentif, vous pourriez peut-être trouver un livre de Margaret Atwood sur votre chemin. Pour faire la promotion de la minisérie Alias Grace, diffusée sur les ondes de CBC depuis lundi dernier, l’écrivaine Margaret Atwood a participé à une activité de promotion organisée en collaboration avec l’organisme Book Fairies Canada (il existe 20 « chapitres » canadiens de ces « fées des livres » qui s’amusent à cacher des bouquins dans des lieux inusités). Au total, 70 exemplaires du roman de Mme Atwood ont été dissimulés un peu partout, de la Colombie-Britannique aux provinces maritimes en passant par le Manitoba et… le Québec. Jusqu’ici, deux romans ont été trouvés à Montréal : un premier à la place Montréal Trust, chez Indigo, et un autre dans la station de métro Berri-UQAM. Ouvrez l’œil !

La Bosco, publié au Québec aux éditions Héliotrope, figure sur la liste des finalistes du prestigieux prix Médicis, dévoilée jeudi soir dernier. Son auteure, Julie Mazzieri, est originaire de Saint-Paul-de-Chester, dans les Bois-Francs. En France, le roman est publié aux éditions Corti. Le premier roman de Mme Mazzieri, Le discours sur la tombe de l’idiot, avait remporté le Prix du Gouverneur général en 2009. Mme Mazzieri vit aujourd’hui en Corse.

Parmi les 15 autres finalistes, on retrouve aussi des favoris : Nos richesses de Kaouther Adimi (Seuil) et Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable (Gallimard). Dans la catégorie « romans étrangers », on retrouve le puissant Underground Railroad de Colson Whitehead, traduit de l’anglais par Serge Chauvin (Albin Michel). Il s’agit de la deuxième sélection. Il y en aura une troisième le 30 octobre et on remettra le prix le 9 novembre.

Le même jour, les académiciens ont présenté la première sélection du Grand Prix du roman de l’Académie française 2017. Parmi les neuf finalistes, on retrouve encore une fois Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable (Gallimard) et L’art de perdre d’Alice Zeniter (Flammarion). La deuxième sélection sera dévoilée le 12 octobre et le Grand prix du roman sera remis le 26 octobre.

Professeur au département d’histoire de l’UQAM, Christopher Goscha est finaliste au prestigieux Prix de littérature historique Cundill, qui récompense le meilleur ouvrage d’histoire en langue anglaise.

Son livre, Vietnam : A New History, est parmi les 10 titres choisis par le jury présidé par l’historienne de réputation internationale Margaret MacMillan. M. Goscha, qui enseigne à Montréal depuis 2005 (relations internationales, histoire de l’Indochine coloniale, décolonisation, etc.), est l’auteur de nombreux ouvrages. Le prix Cundill est accompagné d’une bourse de 75 000 $US et les deux autres finalistes recevront une bourse de 10 000 $US chacun. L’identité des trois finalistes sera révélée à la Maison du Canada, à Londres, le 26 octobre. Quant au gagnant, son nom sera dévoilé le 16 novembre, à Montréal.

Origin de Dan Brown (Doubleday). (On peut regarder une entrevue qu’il a accordée à l’émission CBS Sunday Morning, sur les ondes de CBS, ce matin à 9 h.)

Quand t’es née pour un p’tit pain Denise Filiatrault et Danièle Lorain (Libre Expression).

2 octobre : lancement du roman Un jour je te dirai tout (Boréal) en présence de son auteure, Brigitte Haentjens. Librairie Le Port de tête, 17 h 30.

5 octobre : entrevue publique suivie d’une période de questions avec Lise Tremblay, auteure de L’habitude des bêtes (Boréal). Librairie Pantoute (Vieux-Québec). De 18 h à 20 h.

Rencontre avec Matthieu Simard pour son livre Ici, ailleurs (Alto). Librairie Paulines, 19 h 30.

7 octobre : rencontre avec la comédienne et auteure Sophie Faucher qui lira des extraits de son livre Frida, c’est moi dans le cadre de la Semaine Lis avec moi. Librairie de Verdun, 11 h.