L’engagement de Provigo

Pour l’amour des produits d’ici

Un récent sondage révèle que l’achat d’aliments locaux compte de plus en plus pour les consommateurs. Par exemple, 51 % des répondants affirment qu’ils achètent des produits d’ici, et ce, peu importe leur prix. C’est pourquoi Provigo fait plus que jamais rayonner une vaste gamme de produits québécois en s’assurant que ceux-ci répondent à de hauts standards de qualité.

Les arguments en faveur de la réduction de la distance entre le lieu de production d’un aliment et le consommateur sont nombreux.

Les produits locaux soutiennent l’économie locale

80 % des répondants

Les produits locaux sont plus frais

50 % des répondants

Les produits locaux ont une empreinte écologique réduite

25 % des répondants

Un large éventail de choix

Si, en saison, environ 50 % des fruits et des légumes vendus chez Provigo sont originaires du Québec, la sélection de produits québécois s’étend bien au-delà de ce rayon. Ceux-ci se comptent même par milliers !

« Nous nous approvisionnons presque exclusivement en porc du Québec », donne en exemple Jean-Marc Fortin, nouvellement nommé au poste de chef des projets et du développement du marché du Québec pour Provigo. Il poursuit : « Afin de mettre en lumière le savoir-faire des artisans fromagers d’ici, nous avons choisi d’avoir un espace réservé aux fromages du Québec dans notre mur de fromages. Et en se rendant au comptoir de la poissonnerie, il est également possible de se procurer les produits fins d’Atkins et frères, comme des tartinades ou du saumon fumé. Nous sommes fiers d’entretenir des relations d’affaires solides avec des entreprises d’ici, comme Viandes Lacroix, avec qui nous collaborons depuis plus de 20 ans. »

L’importance d’un affichage clair

Pour que les consommateurs puissent s’assurer de faire des choix axés sur l’achat local, plusieurs outils ont été mis en place. «  La loi exige d’afficher la provenance d’un produit qui pousse au Québec. C’est le cas pour les tomates et les fraises, mais pas pour les oranges, par exemple », explique Jean-Marc Fortin.

Les logos « Aliment du Québec » ou « Fabriqué au Québec » permettent aussi de repérer rapidement plusieurs aliments d’ici. De plus, Provigo a instauré l’utilisation de nouvelles étiquettes affichant « Québec » ou « Locaux ». Cette dernière mention peut être apposée sur un produit lorsque ce dernier provient d’un rayon de 150 kilomètres ou moins du magasin. 

Que veut dire « local » ?

Toujours selon le sondage réalisé par Léger Marketing en collaboration avec Provigo, un aliment « local » signifie pour 49 % des répondants qu’il provient du Québec, tandis que 37 % considèrent comme « local » un produit issu de leur région.

Toujours à l’affût

Les relations étroites qu’entretiennent les marchands avec leur communauté constituent un autre aspect qui distingue l’approche locale de Provigo et sur lequel l’entreprise souhaite continuer de s’appuyer dans l’avenir. « Nous sommes très soucieux de répondre aux goûts et aux préférences des consommateurs d’un secteur précis, souligne Jean-Marc Fortin, chef des projets et du développement du marché du Québec pour Provigo. Plusieurs ententes sont ainsi développées entre des producteurs et des marchands de toutes les régions. » Il ajoute : « Par exemple, les créations de la microbrasserie La Voie Maltée, au Saguenay, ont fait leur entrée au Provigo Le Marché de Chicoutimi pour ensuite s’étendre à d’autres régions du Québec.  »

Des valeurs sûres

Quand on leur a demandé quel produit agroalimentaire représentait le mieux le Québec, les répondants ont mentionné les fraises (15 %), le sirop d’érable (11 %), le lait (10 %) et le maïs (8 %), entre autres.

Selon les règles de l’art

En plus de sa provenance québécoise, un produit doit également répondre à des critères rigoureusement définis. « Nous privilégions les fournisseurs locaux dont les standards en matière de sécurité, de salubrité, de qualité et de disponibilité correspondent aux nôtres », affirme M. Fortin. « Nous avons établi des spécifications assurant une constance de l’offre. Par exemple, nos pommes locales auront sensiblement le même taux de sucre et la même grosseur. Chaque fois qu’ils font leur épicerie chez nous, les clients savent donc à quoi s’attendre et peuvent retrouver les produits qu’ils apprécient. »

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