COMMANDITÉ

Guenther Steiner visite les Canadiens

Guenther Steiner, chef d’équipe de l’écurie Haas F1 et vedette de la série Netflix Formula 1 : Pilotes de leur destin, a fait un arrêt au complexe d’entraînement à Brossard cet été, alors qu’il était en ville dans le cadre du Grand Prix du Canada.

Gardien de but dans sa jeunesse, passée dans le nord de l’Italie, l’homme de 58 ans a enfilé l’uniforme des Canadiens pour la journée afin de voir s’il pouvait faire revivre le hockeyeur en lui.

« Je n’ai pas arrêté toutes les rondelles, mais la sensation était la même. C’est comme si j’avais rajeuni de 35 ans, pendant 20 minutes du moins », a raconté Steiner, qui a gardé les buts pour le HC Meran/o avant de s’occuper des budgets, de la stratégie et du développement technique de géants du sport automobile. « Ce sera pire demain, j’en suis sûr. Je vais me sentir vieux demain. »

Mis à part les éventuelles courbatures, celui qui a une double citoyenneté italo-américaine a fait bonne figure sur la glace, vêtu de la tête aux pieds d’équipement bleu-blanc-rouge, dont une pièce de résistance unique.

Le capitaine Nick Suzuki a surpris Steiner en lui remettant un masque de gardien personnalisé peint à l’aérographe sur lequel figure le logo des Canadiens et celui de l’équipe Haas F1, de même que quelques éléments représentant la ville de Montréal et d’autres de la vie personnelle du membre honoraire du Tricolore.

Évidemment, il n’y a pas de meilleure manière de tester un équipement de hockey professionnel qu’en le mettant à l’épreuve face à de vrais joueurs de la LNH. Suzuki, Kaiden Guhle et Samuel Montembeault se sont ainsi fait un plaisir de rendre cela possible en prenant part à une séance de tirs de barrage aux côtés de Greta, la fille de Steiner, François Dumontier, président et directeur général du Grand Prix du Canada, et des mascottes Youppi!, METAL! et Vroum.

Alors, Steiner envisage-t-il un retour définitif à son sport de prédilection?

« On a pu voir que je ne suis maintenant plus un pro sur patins, a admis Steiner en riant. Mais c’était cool à faire et cool d’avoir eu l’occasion de le faire, alors merci beaucoup aux Canadiens de Montréal d’avoir rendu le tout possible. »

Un texte de Steven Nechay, traduit par Hélène Cloutier, collaborateurs du magazine des Canadiens

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