l’intensité monte d’un cran

Le Canadien a disputé un match intense, quoiqu’imparfait, face aux Panthers de la Floride, et Juraj Slafkovsky en a profité pour montrer que le jeu physique ne l’effraie plus. Ajoute-t-il des cordes à son arc ou défie-t-il sa nature profonde ? se demandent nos panélistes.

Parlant d’intensité, la course aux séries éliminatoires se corse dans l’Association de l’Est, cinq clubs se disputant les deux dernières places. Et on revient sur les propos du toujours très intense John Tortorella, qui tente d’inspirer les Flyers de Philadelphie.

Animateur : Jérémie Rainville Invités : Guillaume Lefrançois, Simon-Olivier Lorange et Stéphane Waite

« Clairement, cette année, il [Juraj Slafkovsky] est en train de constater que la dimension physique ne le dérange pas. Je pense qu’il est plus à son aise aussi pour le faire. »

— Guillaume Lefrançois

« Le portrait est assez précis sur ce qu’on a eu de [Nick] Suzuki cette saison. Et je pense que, connaissant sa personnalité et le type de joueur qu’il est, c’est un bon indicateur du futur. »

— Simon-Olivier Lorange

« C’est pas la meilleure équipe qui va rentrer, c’est la moins pire […], parce que tout le monde joue à peu près plus ou moins pour ,500 depuis les 10 derniers matchs. »

— Stéphane Waite