Petit détour par la Finlande chez Oboro. On y présente deux créations de l’artiste d’Helsinki Lauri Astala qui s’intéresse aux différences entre les réalités tangibles et virtuelles. L’expo comprend une installation vidéo interactive et une vidéo qui cherchent à déstabiliser en provoquant l’inconfort.

— Mario Cloutier, La Presse

Désorientations, de Lauri Astala, est présentée jusqu’au 15 octobre à la galerie Oboro (4001, rue Berri, local 301).

Petite expo d’une grande aventure humaine au Centre canadien d’architecture. Deux chercheurs de Zurich, Philip Ursprung et Alex Lehnerer, ont refait la route empruntée par l’explorateur de volcans Franz Wilhelm Junghuhn au milieu du XIXe siècle à Java. Ils en ont rapporté des photos fantastiques, des œuvres en pierre de lave, en plus des travaux et dessins de Junghuhn. Une fascinante réflexion se situant entre l’objet et le paysage ! — Mario Cloutier, La Presse

L’exposition 17 volcans est présentée jusqu’au 22 janvier 2017 au Centre canadien d’architecture (1920, rue Baile). 

Présenté à Montréal le mois dernier, le World Press Photo 2016 affirme avoir enregistré un record de fréquentation avec un total de 53 000 personnes ayant vu l’exposition au Marché Bonsecours. « Ce succès est attribuable à la qualité des expositions présentées et est redevable à la relation exceptionnelle qui se développe avec les visiteurs depuis 11 ans, estime Matthieu Rytz, producteur de l’événement. Ce qui est encourageant avec ce nombre de visiteurs, particulièrement les jeunes adultes et les groupes scolaires, c’est de voir combien toutes les générations demeurent sensibles à l’évolution du monde, tout comme à la place et au rôle qu’une exposition comme celle-ci peut y jouer. » Le World Press Photo a présenté 150 photos et quatre expositions, notamment Je ne viens pas de l’espace, d’Anaïs Barbeau-Lavalette et Guillaume Simoneau, consacrée aux migrants syriens arrivés à Montréal. 

— Éric Clément, La Presse

Ancien élève des Beaux-Arts, Gilles Carle a connu la carrière que l’on sait au cinéma, mais il a toujours dessiné et peint. Cette exposition reprend une quarantaine de ses œuvres. Au menu : variété, humour et érotisme. L’expo bénéficie d’un apport sonore agencé par Chloé Sainte-Marie, l’interprète, comédienne et chanteuse qui a partagé la vie de l’artiste.

— Mario Cloutier, La Presse

Moi, à mon plus beau, de Gilles Carle, est présentée à la Galerie Lounge TD (305, rue Sainte-Catherine Ouest, 2e étage).