Un possible intrus au domicile de Drake à Toronto a dû être hospitalisé après avoir subi des blessures graves lors d’un affrontement avec des gardiens de sécurité, selon la police. Il s’agirait du deuxième intrus signalé dans le manoir du rappeur, situé dans le quartier de Bridle Path, depuis que l’un de ses gardiens de sécurité a été blessé dans une fusillade très médiatisée, tôt mardi. Ces incidents surviennent dans le contexte d’une querelle entre Drake et Kendrick Lamar, dans laquelle les deux artistes ont échangé de plus en plus d’attaques personnelles et d’allégations non fondées. La police de Toronto a déclaré qu’aucune accusation n’avait été portée après que les agents ont été appelés au manoir jeudi après-midi au sujet d’un intrus sur la propriété qui a eu une altercation avec les gardiens avant l’arrivée de la police. La police a précisé que l’individu a été transporté à l’hôpital.

— La Presse Canadienne

Veiller sur elle

Jean-Baptiste Andrea

L’iconoclaste 580 pages

« C’est tout ce que j’aime en littérature. C’est un souffle romanesque, c’est une autre époque. C’est une écriture simple, mais très élégante. C’est un autre pays, aussi, sur plusieurs décennies, en Italie ; on suit presque le XXe siècle en entier. Et les dernières pages, quand il y a l’explication de tout ce mystère autour de la statue, j’ai trouvé ça incroyable. Il y a vraiment du génie dans ce roman-là. C’est vraiment un coup de cœur et c’est une des plus belles rencontres que j’ai faites [en France, l’automne dernier, en tournée]. »

Peuple de verre

Catherine Leroux

Alto

288 pages

« J’en suis vraiment au tout début. Catherine Leroux est mon éditrice et là aussi, c’est une des plus belles rencontres que j’ai faites. Quand on a commencé à travailler ensemble, je savais qu’elle avait écrit des livres, donc je me suis précipité pour en lire un. C’était L’avenir et j’avais vraiment beaucoup aimé. Et là, elle vient tout juste de sortir Peuple de verre. Dans les premières pages que j’ai pu lire, je retrouve l’intelligence incroyable de Catherine au service d’une thématique très contemporaine, parce qu’elle parle de rénovictions et de tout un tas de sujets qui sont assez actuels. »

La fille d’elle-même

Gabrielle Boulianne-Tremblay

Marchand de feuilles 334 pages

« Ça a été un coup de cœur absolu, une décharge électrique de la première à la dernière page. C’est un des romans qui m’ont le plus touché – sur une thématique dont je ne connaissais pas grand-chose, en fait, la transidentité. Je ne savais pas trop dans quoi je m’embarquais ; les autofictions, ce n’est pas vraiment ce que je préfère comme genre littéraire. Et là, j’ai été soufflé par la vie de cette fille qui se découvre fille après son entourage, parce qu’une bonne partie de son entourage – sa grand-mère par exemple – semble avoir compris avant elle qui elle était. Et c’est écrit avec une plume d’une simplicité incroyable, d’une délicatesse, d’une sensibilité. »